La belle Belge, vainqueur du Prix Constantin 2011, a sorti il y a peu son nouveau single "Crazy Vibes" en vidéo. Ce morceau est issu de son premier album éponyme. Une vidéo à l'image de la jeune et talentueuse chanteuse. Tout en finesse et délicatesse. La voix soul et suave de Selah Sue colle parfaitement aux images diffusées. Le lecteur se laisse facilement attendrir par cette vidéo, mais avant tout cette voix si singulière.
31/10/2011
Selah Sue - Crazy Vibes (Official Video)
Publié par
Yohann Goyat
La belle Belge, vainqueur du Prix Constantin 2011, a sorti il y a peu son nouveau single "Crazy Vibes" en vidéo. Ce morceau est issu de son premier album éponyme. Une vidéo à l'image de la jeune et talentueuse chanteuse. Tout en finesse et délicatesse. La voix soul et suave de Selah Sue colle parfaitement aux images diffusées. Le lecteur se laisse facilement attendrir par cette vidéo, mais avant tout cette voix si singulière.
Duck Sauce - Big Bad Wolf (Official Video)
Publié par
Yohann Goyat
Le nouveau single du duo A-Track & Armand Van Helden, "Big Bad Wolf" a enfin vu le jour. Le morceau circulé depuis un bout de temps déjà. En voici aujourd'hui le clip officiel. Déjanté, est le mot. L'un des clips vidéo du moment ! Vous pouvez également écouter l'excellent remix du frenchy Gesaffelstein ici. Bonne écoute !
The Black Keys - Lonely Boy (Official Video)
Publié par
Yohann Goyat
Voici, enfin, le grand retour des Black Keys ! "Lonely Boy" est le premier single issu de leur nouvel album, prochainement dans les bacs, intitulé "El Camino". La sortie est prévue pour le 06 décembre 2012.
Un clip toujours aussi barré qui a le mérite de sortir du lot. Mais avant tout à l'image du groupe depuis ses débuts.
24/10/2011
22/10/2011
Justice - Audio, Video, Disco (LP)
Publié par
Yohann Goyat
Justice serait-il visionnaire, comme le fut Steve Jobs avec Apple ? Précurseur du mouvement 'french touch 2.0', le duo en aurait-il fleuré une mort prématurée ? Toujours est-il que le nouveau tournant musical qu'a pris le duo avec 'Audio, Video, Disco' n'est sans doute pas anodin !
Connu aux quatre coins du monde, Justice est attendu de pied ferme avec 'Audio, Video, Disco'. Surement l'album le plus attendu de la rentrée. Découvert par BusyP et produit sur son label Edbanger, le duo s'est fait connaître quatre ans auparavant avec † . Un style résolument électronique, qui depuis, a fait émergé tant d'emule.
Aujourd'hui, Justice livre une toute nouvelle production et le mot est faible. Exit l'électronique à laquelle le duo français nous avez habitué et place à la pop/rock 2.0, si l'on peut appeler cela comme ça. Surement un des nouveaux mouvements futurs. Le génie Madeon est déjà un des premiers exemples du genre. 'Ohio' est le pur exemple du genre que le groupe pouvait nous offrir. Une mélodie lancinante et rondouillarde agrémentée de guitares pour pimenter le tout.
'On'n'On' calibré à merveille pour être LE tube de l'album. La rythmique et la voix pop du track sont à couper le souffle et rentre vite en tête. Flirtant avec le rock ce track est sans nul doute l'un des prochains morceaux sur lequel il faudra compter. Quant à 'Parade', il est celui qui nous ramenant à ce que Justice produit depuis 4 ans : l'électronique.
'New Lands' est en quelque sorte le 'D.A.N.C.E' de † sorti en 2007. L'excellent et entraînant 'Helix' ainsi que le single 'Audio Video Disco' mettent la touche finale à un album inattendu. En somme : un second opus surprenant de part son virage musical mais aussi dans la qualité de ses tracks. Le duo prouve que, outre produire de la musique électronique brute, il sait aussi la mélanger à la pop/rock.
Dépassé par les nouvelles pouces de l'électronique ou simple envie de créer un nouveau mouvement musical, Justice prend un tournant à 180° avec ce nouvel album. La deuxième moitié du cadrant restant intacte et électronique, fidèles à leurs origines. Ce qui ne gâche en rien, à la qualité de 'Audio Video Disco'.
Connu aux quatre coins du monde, Justice est attendu de pied ferme avec 'Audio, Video, Disco'. Surement l'album le plus attendu de la rentrée. Découvert par BusyP et produit sur son label Edbanger, le duo s'est fait connaître quatre ans auparavant avec † . Un style résolument électronique, qui depuis, a fait émergé tant d'emule.
Aujourd'hui, Justice livre une toute nouvelle production et le mot est faible. Exit l'électronique à laquelle le duo français nous avez habitué et place à la pop/rock 2.0, si l'on peut appeler cela comme ça. Surement un des nouveaux mouvements futurs. Le génie Madeon est déjà un des premiers exemples du genre. 'Ohio' est le pur exemple du genre que le groupe pouvait nous offrir. Une mélodie lancinante et rondouillarde agrémentée de guitares pour pimenter le tout.
'On'n'On' calibré à merveille pour être LE tube de l'album. La rythmique et la voix pop du track sont à couper le souffle et rentre vite en tête. Flirtant avec le rock ce track est sans nul doute l'un des prochains morceaux sur lequel il faudra compter. Quant à 'Parade', il est celui qui nous ramenant à ce que Justice produit depuis 4 ans : l'électronique.
'New Lands' est en quelque sorte le 'D.A.N.C.E' de † sorti en 2007. L'excellent et entraînant 'Helix' ainsi que le single 'Audio Video Disco' mettent la touche finale à un album inattendu. En somme : un second opus surprenant de part son virage musical mais aussi dans la qualité de ses tracks. Le duo prouve que, outre produire de la musique électronique brute, il sait aussi la mélanger à la pop/rock.
Dépassé par les nouvelles pouces de l'électronique ou simple envie de créer un nouveau mouvement musical, Justice prend un tournant à 180° avec ce nouvel album. La deuxième moitié du cadrant restant intacte et électronique, fidèles à leurs origines. Ce qui ne gâche en rien, à la qualité de 'Audio Video Disco'.
Justice - Audio, Video, Disco (Hidden Track)
21/10/2011
Zomby - Labyrinth (from new e.p 'Nothing')
Publié par
Yohann Goyat
Le sulfureux producteur/dj électronique anglais Zomby est de retour avec un nouvel e.p, intitulé 'Nothing'. Après la sortie et le succès de son L.p 'Dedication', l'artiste revient avec une série de 7 nouveaux tracks. Morceaux déjà présents sur la version longue Japonaise de 'Dedication'. Ce nouvel e.p est lancé par le premier morceaux 'Labyrinth'. Si l'album vous a plu alors ce nouvel extrait est fait pour vous ! La sortie est prévue pour le 06 décembre toujours sous le label 4AD.
Zomby - Labyrinth
'NOTHING'
1. Labyrinth
2. Digital Fractal
3. Equinox
4. Sens
5. It Was All A Dream
6. Trapdoor
7. Ecstasy Versions
18/10/2011
Death In Vegas - Trans-Love Energies (2011)
Publié par
Yohann Goyat
Death In Vegas pue la perfection. Dur de critiquer un album comme ce dernier : 'Trans-Love Energies'. Le talent et le charisme de ce groupe n'est plus a présenter. La qualité musicale non plus. Mais les déceptions sont telles, ces derniers temps, que l'on pourrait presque se demander si Death In Vegas ne serait pas, non plus, tombé dans la simplicité.
Que ne nenni. Même après 7 ans d'absence le groupe n'a pas perdu le goût des choses bien faites. Nul besoin de cachets, de pilules bleues, roses ni quoique se soit. L'univers dans lequel nous plonge le groupe, nous fait perdre pied dès les premières notes de 'Silver Time Machine'. Un univers dont seul, eux, ont le secret.
Une atmosphère pesante et collante se dégage de ce nouvel album. Le vieux matos est de retour. Exploitation des vieux synthés, une ligne de basse dosée juste ce qu'il faut. Ce nouvel album nous transporte complément ailleurs de la première à la dernière note. Chaque piste s'imbrique avec beaucoup de délicatesse à l'autre et ne laisse à l'auditeur pas le moindre moment de soupire.
Les mélodies sont toutes aussi bien dosées et pointilleuses les unes que les autres. Beaucoup de changements de rythmes, ce qui n'est pas pour nous déplaire. L'album s'emballe, puis repart à nouveau sur des mélodies lancinantes et psychés à l'image de 'Scissors'. 'Drone Reich' enchaînée par 'Lightining Bolt' nous replonge à nouveau dans une ambiance des plus lourdes mais prenante aux tripes.
'Trans-Love Energies' est avant tout un concept, un univers, une atmosphère à part entière. Un pur moment d'évasion. Il n'appartient qu'à vous d'en faire bon usage. Conseil, afin de mieux vivre cet album, courrez les voir en live : c'est juste, jouissif ! A bon entendeur ! (Leur live à Marsatac résonne toujours autant dans ma tête...)
08/10/2011
05/10/2011
Marsatac 2011 : Un 13 porte-bonheur !
Publié par
Yohann Goyat
Samedi 1er octobre la cité phocéenne vivait les dernières heures du fabuleux festival Marsatac. Retour sur une soirée de clôture flambante.
Autant dire que le chiffre 13 a été comme il se doit honoré. La veille et l'avant veille le festival avait gratifié les festivaliers de la venue des pointures comme Xzibit, Theophilus London, Chinese Man, Brodinski, la Fine Equipe, Applause, Stupeflip, The Do, The Shoes et j'en passe !
Et pour clôre cette merveilleuse édition en beauté, rien de tel que de finir sur une soirée placée sous le signe Rock, Electro et Techno. Ouverture du bal à 22h avec Skip The Use. Le cabaret aléatoire est plein à craqué, Mat Bastard (chanteur) demandera même à faire du bruit pour ceux qui n'ont pas pu rentré. C'est transpirant, dégoulinant et la foule est en liesse. Il faut dire que l'énergie que dégage le groupe, et la présence scénique du chanteur est complètement folle. C'est le froque à moitié en bas des fesses qu'il haranguera la foule afin de retourner le cabaret aléatoire. Inutile de vous dire que personne n'en est sorti vivant.
Cascadeur emportera le public de la cartonnerie dans son univers masqué au doux son des notes de son piano. Death In Vegas remonte après 7 ans d'absence sur les planches pour notre plus grand bonheur. 7 ans que nous attendions tous ça. Et que c'est bon ! Un live transcendant et planant. Les jeux de lumières suivaient à merveille le rythme imposé par le groupe. Autant psychédélique et rageur que doux et voluptueux.
Les jeunes pousses comme le quatuor niçois Hyphen Hyphen (interview à venir) apporteront cette petite touche de fraîcheur avec leur rock éclectique et pailleté. Un show haut en couleur à l'image du groupe et toujours très énergique. Pour les néophytes, courrez les écouter !
La soirée bien entamée, place au pointures de la scène électronique et techno. Il est minuit quarante exactement et Toxic Avenger accompagné du duo Bonjour Afrique (guitare et batterie) entame les festivités comme il se doit. C'est électrique et les basses frappent très fort. Les oreilles saignent et le pire dans tout ça ... c'est que le début ! Pendant ce temps là, Yuksek entre en scène à la cartonnerie. La foule est dense et le jeune reimois est acclamé comme il se doit. Le trio (clavier et percu) haranguera le public jusqu'à la dernière minute de leur set. Yuksek est en transe, le tee-shirt trempé mais heureux. Son visage en dit long. "On a train" sont dernier single issu de "Living on the edge of time" et "Tonight" achèveront à merveille le public venu ce soir.
Les festivaliers qui restent, feront les frais des sets survoltés de Mondkopf, Arnaud Rebotini le bourreau des Balkans, mais aussi du duo berlinois Modeselektor venu défendre son dernier album 'Monkeytown'. En toute fin de soirée Julian Jeweil et Noob feront trembler à leur tour les planches de l'esplanade au doux son de leur techno lourde et claquante.
Cette édition 2011 est un succès dans toute sa splendeur ! Une programmation inimaginable, un spot atypique, parfois glauque mais tellement flambant. Nous en avons pris plein les yeux, plein les oreilles. Et surtout 3 jours de festival à guichets fermés ! Visiblement le chiffre 13 leur sied à merveille !
Autant dire que le chiffre 13 a été comme il se doit honoré. La veille et l'avant veille le festival avait gratifié les festivaliers de la venue des pointures comme Xzibit, Theophilus London, Chinese Man, Brodinski, la Fine Equipe, Applause, Stupeflip, The Do, The Shoes et j'en passe !
Et pour clôre cette merveilleuse édition en beauté, rien de tel que de finir sur une soirée placée sous le signe Rock, Electro et Techno. Ouverture du bal à 22h avec Skip The Use. Le cabaret aléatoire est plein à craqué, Mat Bastard (chanteur) demandera même à faire du bruit pour ceux qui n'ont pas pu rentré. C'est transpirant, dégoulinant et la foule est en liesse. Il faut dire que l'énergie que dégage le groupe, et la présence scénique du chanteur est complètement folle. C'est le froque à moitié en bas des fesses qu'il haranguera la foule afin de retourner le cabaret aléatoire. Inutile de vous dire que personne n'en est sorti vivant.
Cascadeur emportera le public de la cartonnerie dans son univers masqué au doux son des notes de son piano. Death In Vegas remonte après 7 ans d'absence sur les planches pour notre plus grand bonheur. 7 ans que nous attendions tous ça. Et que c'est bon ! Un live transcendant et planant. Les jeux de lumières suivaient à merveille le rythme imposé par le groupe. Autant psychédélique et rageur que doux et voluptueux.
Les jeunes pousses comme le quatuor niçois Hyphen Hyphen (interview à venir) apporteront cette petite touche de fraîcheur avec leur rock éclectique et pailleté. Un show haut en couleur à l'image du groupe et toujours très énergique. Pour les néophytes, courrez les écouter !
La soirée bien entamée, place au pointures de la scène électronique et techno. Il est minuit quarante exactement et Toxic Avenger accompagné du duo Bonjour Afrique (guitare et batterie) entame les festivités comme il se doit. C'est électrique et les basses frappent très fort. Les oreilles saignent et le pire dans tout ça ... c'est que le début ! Pendant ce temps là, Yuksek entre en scène à la cartonnerie. La foule est dense et le jeune reimois est acclamé comme il se doit. Le trio (clavier et percu) haranguera le public jusqu'à la dernière minute de leur set. Yuksek est en transe, le tee-shirt trempé mais heureux. Son visage en dit long. "On a train" sont dernier single issu de "Living on the edge of time" et "Tonight" achèveront à merveille le public venu ce soir.
Les festivaliers qui restent, feront les frais des sets survoltés de Mondkopf, Arnaud Rebotini le bourreau des Balkans, mais aussi du duo berlinois Modeselektor venu défendre son dernier album 'Monkeytown'. En toute fin de soirée Julian Jeweil et Noob feront trembler à leur tour les planches de l'esplanade au doux son de leur techno lourde et claquante.
Cette édition 2011 est un succès dans toute sa splendeur ! Une programmation inimaginable, un spot atypique, parfois glauque mais tellement flambant. Nous en avons pris plein les yeux, plein les oreilles. Et surtout 3 jours de festival à guichets fermés ! Visiblement le chiffre 13 leur sied à merveille !
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