Samedi 1er octobre la cité phocéenne vivait les dernières heures du fabuleux festival Marsatac. Retour sur une soirée de clôture flambante.
Autant dire que le chiffre 13 a été comme il se doit honoré. La veille et l'avant veille le festival avait gratifié les festivaliers de la venue des pointures comme Xzibit, Theophilus London, Chinese Man, Brodinski, la Fine Equipe, Applause, Stupeflip, The Do, The Shoes et j'en passe !
Et pour clôre cette merveilleuse édition en beauté, rien de tel que de finir sur une soirée placée sous le signe Rock, Electro et Techno. Ouverture du bal à 22h avec Skip The Use. Le cabaret aléatoire est plein à craqué, Mat Bastard (chanteur) demandera même à faire du bruit pour ceux qui n'ont pas pu rentré. C'est transpirant, dégoulinant et la foule est en liesse. Il faut dire que l'énergie que dégage le groupe, et la présence scénique du chanteur est complètement folle. C'est le froque à moitié en bas des fesses qu'il haranguera la foule afin de retourner le cabaret aléatoire. Inutile de vous dire que personne n'en est sorti vivant.
Cascadeur emportera le public de la cartonnerie dans son univers masqué au doux son des notes de son piano. Death In Vegas remonte après 7 ans d'absence sur les planches pour notre plus grand bonheur. 7 ans que nous attendions tous ça. Et que c'est bon ! Un live transcendant et planant. Les jeux de lumières suivaient à merveille le rythme imposé par le groupe. Autant psychédélique et rageur que doux et voluptueux.
Les jeunes pousses comme le quatuor niçois Hyphen Hyphen (interview à venir) apporteront cette petite touche de fraîcheur avec leur rock éclectique et pailleté. Un show haut en couleur à l'image du groupe et toujours très énergique. Pour les néophytes, courrez les écouter !
La soirée bien entamée, place au pointures de la scène électronique et techno. Il est minuit quarante exactement et Toxic Avenger accompagné du duo Bonjour Afrique (guitare et batterie) entame les festivités comme il se doit. C'est électrique et les basses frappent très fort. Les oreilles saignent et le pire dans tout ça ... c'est que le début ! Pendant ce temps là, Yuksek entre en scène à la cartonnerie. La foule est dense et le jeune reimois est acclamé comme il se doit. Le trio (clavier et percu) haranguera le public jusqu'à la dernière minute de leur set. Yuksek est en transe, le tee-shirt trempé mais heureux. Son visage en dit long. "On a train" sont dernier single issu de "Living on the edge of time" et "Tonight" achèveront à merveille le public venu ce soir.
Les festivaliers qui restent, feront les frais des sets survoltés de Mondkopf, Arnaud Rebotini le bourreau des Balkans, mais aussi du duo berlinois Modeselektor venu défendre son dernier album 'Monkeytown'. En toute fin de soirée Julian Jeweil et Noob feront trembler à leur tour les planches de l'esplanade au doux son de leur techno lourde et claquante.
Cette édition 2011 est un succès dans toute sa splendeur ! Une programmation inimaginable, un spot atypique, parfois glauque mais tellement flambant. Nous en avons pris plein les yeux, plein les oreilles. Et surtout 3 jours de festival à guichets fermés ! Visiblement le chiffre 13 leur sied à merveille !
Autant dire que le chiffre 13 a été comme il se doit honoré. La veille et l'avant veille le festival avait gratifié les festivaliers de la venue des pointures comme Xzibit, Theophilus London, Chinese Man, Brodinski, la Fine Equipe, Applause, Stupeflip, The Do, The Shoes et j'en passe !
Et pour clôre cette merveilleuse édition en beauté, rien de tel que de finir sur une soirée placée sous le signe Rock, Electro et Techno. Ouverture du bal à 22h avec Skip The Use. Le cabaret aléatoire est plein à craqué, Mat Bastard (chanteur) demandera même à faire du bruit pour ceux qui n'ont pas pu rentré. C'est transpirant, dégoulinant et la foule est en liesse. Il faut dire que l'énergie que dégage le groupe, et la présence scénique du chanteur est complètement folle. C'est le froque à moitié en bas des fesses qu'il haranguera la foule afin de retourner le cabaret aléatoire. Inutile de vous dire que personne n'en est sorti vivant.
Cascadeur emportera le public de la cartonnerie dans son univers masqué au doux son des notes de son piano. Death In Vegas remonte après 7 ans d'absence sur les planches pour notre plus grand bonheur. 7 ans que nous attendions tous ça. Et que c'est bon ! Un live transcendant et planant. Les jeux de lumières suivaient à merveille le rythme imposé par le groupe. Autant psychédélique et rageur que doux et voluptueux.
Les jeunes pousses comme le quatuor niçois Hyphen Hyphen (interview à venir) apporteront cette petite touche de fraîcheur avec leur rock éclectique et pailleté. Un show haut en couleur à l'image du groupe et toujours très énergique. Pour les néophytes, courrez les écouter !
La soirée bien entamée, place au pointures de la scène électronique et techno. Il est minuit quarante exactement et Toxic Avenger accompagné du duo Bonjour Afrique (guitare et batterie) entame les festivités comme il se doit. C'est électrique et les basses frappent très fort. Les oreilles saignent et le pire dans tout ça ... c'est que le début ! Pendant ce temps là, Yuksek entre en scène à la cartonnerie. La foule est dense et le jeune reimois est acclamé comme il se doit. Le trio (clavier et percu) haranguera le public jusqu'à la dernière minute de leur set. Yuksek est en transe, le tee-shirt trempé mais heureux. Son visage en dit long. "On a train" sont dernier single issu de "Living on the edge of time" et "Tonight" achèveront à merveille le public venu ce soir.
Les festivaliers qui restent, feront les frais des sets survoltés de Mondkopf, Arnaud Rebotini le bourreau des Balkans, mais aussi du duo berlinois Modeselektor venu défendre son dernier album 'Monkeytown'. En toute fin de soirée Julian Jeweil et Noob feront trembler à leur tour les planches de l'esplanade au doux son de leur techno lourde et claquante.
Cette édition 2011 est un succès dans toute sa splendeur ! Une programmation inimaginable, un spot atypique, parfois glauque mais tellement flambant. Nous en avons pris plein les yeux, plein les oreilles. Et surtout 3 jours de festival à guichets fermés ! Visiblement le chiffre 13 leur sied à merveille !