Madben. Ce nom ne vous dit peut être rien, mais dans le paysage techno français il est sur toutes les lèvres. Notamment celles d'un des pionniers du mouvement, Laurent Garnier. L'ayant repéré en 2010, le Pape en a fait depuis, son chouchou.
© certifié conforme et recommandé par Laurent Garnier
Madben peut se venter d'avoir déjà mixer auprès de grands noms de la techno actuelle et dont les titres également sont playlistés par Agoria, Laurent Garnier himself, Dave Clarke et bien d'autres. Les plus grands festivals se l'arrache (Astropolis, Transmusicales, Ososphère...). C'est LA révélation du moment, sans conteste.
À ce sujet, le festival Astropolis lance son propre label, du même nom Astropolis Records. Dont la première sortie n'est autre que le dernier track de Madben "We want to rave on", prévue le 18/01/2013. Quoi rêver de mieux pour le lancement d'un label que de s'octroyer les services d'un artiste comme lui ? Je vous le demande.
À ce sujet, le festival Astropolis lance son propre label, du même nom Astropolis Records. Dont la première sortie n'est autre que le dernier track de Madben "We want to rave on", prévue le 18/01/2013. Quoi rêver de mieux pour le lancement d'un label que de s'octroyer les services d'un artiste comme lui ? Je vous le demande.
Benjamin, de son prénom, n'en est pas non plus à son premier coup d'essai. Il a déjà signé de nombreux tracks et remixs sur d'autres labels de renom notamment anglais. A l'image de Hype Musik et son titre Promise Land, remixé par Scan X (LBS). Un espoir de la techno française qui risque bien d'en faire rêver plus d'un dans les festivals et autres événements consacrés à la musique électronique, ces prochains mois.