Révélation française avec son album en 2009, Paul Régimbeau alias Mondkopf fait parti de la nouvelle vague électronique. Mais pas n'importe laquelle. Mondkopf a seulement 22 ans, mais possède un talent hors pairs en matière de production. Mondkopf nous fait partager avec son premier album une musique électronique sobre et élégante. "Galaxy of Nowhere" est un disque frais, léger, aérien, et qui comme son nom l'indique nous transporte ailleurs dans l'espace. Une musique oscillant entre l'electronica et la techno nonchalante pour jeunes Fluokids.
Mondkopf développe un son à la fois mélodique et percutant, à l'instar de la track "La Dame en Bleue" part qui le succès vint. L'artiste se nourrissant de genres multiples et variés le fait ressentir. Sonorités hip-hop et synthétiques complétement envoutantes et déconcertantes à l'écoute de "Libera Me", tiré d'un de ses E.Ps précédents. "Screams of Stars" et "Lambs are Dancing" aux sonorités plus "club" nous ferons sautiller sur place, avec un beat claquant et un synthé psychédélique, rythmes totalement robotisés qui font toujours effets et qui retournent un "dance-floor" en très peu de temps.
La pression s'apaisera en fin de disque pour laisser place à des mélodies plus douces et subtiles, comme pour annoncer l'arrivée sur une autre planète. D'ailleurs il suffit d'écouter l'excellentissime "Planetes" et vous en serez vite convaincu(e)(s). Une piste légère, et d'une beauté parfaite. Suivie de prêt par un "Ave Maria" des plus religieux et mélodieux. "Galaxy of Nowhere" est un album à déguster du début à la fin sans interruption, d'ailleurs vous vous rendrez vite compte qu'il en est impossible de s'en séparer. Alors ne perdez pas une seconde et allongez-vous, fermez les yeux, appuyez sur "Play" et laissez-vous emporter. Le voyage peut commencé.
Mondkopf nous livre là un album des plus planant qu'il soit, avec de temps à autre des sonorités nous faisant penser à Vitalic, Nathan Fake, M83. Un rapprochement fait avec les plus grands et bien mérité. Mondkopf est un artiste sur lequel il faudra compter pour les années à venir, et qui on l'espère continuera à nous faire rêver avec ses mélodies et son electronica venus d'ailleurs.
Mondkopf développe un son à la fois mélodique et percutant, à l'instar de la track "La Dame en Bleue" part qui le succès vint. L'artiste se nourrissant de genres multiples et variés le fait ressentir. Sonorités hip-hop et synthétiques complétement envoutantes et déconcertantes à l'écoute de "Libera Me", tiré d'un de ses E.Ps précédents. "Screams of Stars" et "Lambs are Dancing" aux sonorités plus "club" nous ferons sautiller sur place, avec un beat claquant et un synthé psychédélique, rythmes totalement robotisés qui font toujours effets et qui retournent un "dance-floor" en très peu de temps.
La pression s'apaisera en fin de disque pour laisser place à des mélodies plus douces et subtiles, comme pour annoncer l'arrivée sur une autre planète. D'ailleurs il suffit d'écouter l'excellentissime "Planetes" et vous en serez vite convaincu(e)(s). Une piste légère, et d'une beauté parfaite. Suivie de prêt par un "Ave Maria" des plus religieux et mélodieux. "Galaxy of Nowhere" est un album à déguster du début à la fin sans interruption, d'ailleurs vous vous rendrez vite compte qu'il en est impossible de s'en séparer. Alors ne perdez pas une seconde et allongez-vous, fermez les yeux, appuyez sur "Play" et laissez-vous emporter. Le voyage peut commencé.
Mondkopf nous livre là un album des plus planant qu'il soit, avec de temps à autre des sonorités nous faisant penser à Vitalic, Nathan Fake, M83. Un rapprochement fait avec les plus grands et bien mérité. Mondkopf est un artiste sur lequel il faudra compter pour les années à venir, et qui on l'espère continuera à nous faire rêver avec ses mélodies et son electronica venus d'ailleurs.