Le nouvel album du berlinois Apparat sort le 25 septembre. Intitulé 'The Devil's Walk', cet album peut laisser penser à un opus sombre et glauque. Détrompez-vous. Il n'en est rien. Sascha Ring, de son vrai nom, nous plonge dans un monde complètement hermétique. Son monde. Celui de la musique électronique, expérimentale et IDM (Intelligent Dance Music) sur lequel l'artiste à poser sa surprenante voix.
Une entrée en matière délicate et sucrée à l'image de 'Sweet Unrest'. La basse ronflante de 'Song of Los' est d'une beauté implacable. L'artiste a réussi le pari de poser sa voix. Et il faut avouer que le pari est plutôt réussi. Surtout quand la qualité est de mise. L'un des premiers titres issus de cet album 'Black Water' s'enchaîne. La mélodie est toujours soignée et nette. Une production sans bavure, profonde et mentale.
Le moindre track vous prend aux tripes de la première note à la dernière. L'album s'écoute d'un trait. L'ennui n'a pas le temps de venir vous titiller. La voix d'Apparat rajoute un côté 'pop' à cet album, qui faut le dire, n'est pas dégueu. Que dire de 'Goodbye' emmené par une sorte de marche funèbre au piano. Le timbre de voix nous berce toujours autant. C'est frissonnant. C'est un pur délice.
'Candil De La Calle' nous fait l'honneur encore d'une grosse basse toujours aussi ronflante. Un beat en boucle et sa voix posée dessus. Le travail est propre et bien pensé. Les violons et le xylophone viendront même s'inviter sur la merveille 'The Soft Voicies Die'. Inutile de parler de 'Ash Black Veil' plus psychédélique que jamais.
Apparat signe là, surement, l'un des meilleurs albums électronique de la rentrée. Un savant mélange des genres donnant, grâce à sa voix suave et envoutante, un côté pop à son album pas négligeable. Une sérieuse leçon de musique. Les autres n'ont qu'à bien se tenir.
Une entrée en matière délicate et sucrée à l'image de 'Sweet Unrest'. La basse ronflante de 'Song of Los' est d'une beauté implacable. L'artiste a réussi le pari de poser sa voix. Et il faut avouer que le pari est plutôt réussi. Surtout quand la qualité est de mise. L'un des premiers titres issus de cet album 'Black Water' s'enchaîne. La mélodie est toujours soignée et nette. Une production sans bavure, profonde et mentale.
Le moindre track vous prend aux tripes de la première note à la dernière. L'album s'écoute d'un trait. L'ennui n'a pas le temps de venir vous titiller. La voix d'Apparat rajoute un côté 'pop' à cet album, qui faut le dire, n'est pas dégueu. Que dire de 'Goodbye' emmené par une sorte de marche funèbre au piano. Le timbre de voix nous berce toujours autant. C'est frissonnant. C'est un pur délice.
'Candil De La Calle' nous fait l'honneur encore d'une grosse basse toujours aussi ronflante. Un beat en boucle et sa voix posée dessus. Le travail est propre et bien pensé. Les violons et le xylophone viendront même s'inviter sur la merveille 'The Soft Voicies Die'. Inutile de parler de 'Ash Black Veil' plus psychédélique que jamais.
Apparat signe là, surement, l'un des meilleurs albums électronique de la rentrée. Un savant mélange des genres donnant, grâce à sa voix suave et envoutante, un côté pop à son album pas négligeable. Une sérieuse leçon de musique. Les autres n'ont qu'à bien se tenir.
Apparat - Song of Los
Apparat - Ash/Black Veil
Apparat - Escape